- Aimer le travail d’équipe.
- Travailler avec précision et rapidité.
- Avoir une bonne dextérité.
- Être méthodique.
- Être capable de travailler sous pression.
- Respecter les normes en matière d’hygiène et salubrité alimentaires ainsi que de santé et sécurité au travail.
Le métier d’aide-cuisinier nécessite une bonne forme physique. Vous devez donc être capable de:
- Travailler plusieurs heures debout.
- Soulever des charges parfois lourdes.
- Supporter d’importants écarts de température (du froid des réfrigérateurs à la chaleur des appareils de cuisson).
Même si une attestation d’études professionnelles (AEP) ou un diplôme d’études professionnelles (DEP) en cuisine, ainsi qu’une certification en hygiène et salubrité constituent des atouts, aucune formation n’est généralement exigée.
Conseil « SOS main d’œuvre »
Comme il n’est pas exclu que le poste d’aide-cuisinier soit une porte d’entrée pour des candidats avec peu de bagage scolaire ou d’expérience, mettre en relief les compétences qu’ils pourraient acquérir s’ils travaillent chez vous peut être un bon levier à l’attractivité
Vous pourriez, par exemple, mettre l’emphase sur l’apprentissage de la gestion du stress ou alors celui des méthodes de travail universelles en cuisine. Ces compétences pourraient leur être utiles toute leur vie. Ne négligez pas le fait que l’expérience globale de travail que vous avez à leur offrir peut avoir un impact sur leur intérêt à travailler pour vous.
Psit!
Si vous êtes de ces établissements pour qui le DEP en cuisine est un prérequis, même pour les aide-cuisiniers, gardez vos critères à la hausse, mais n’oubliez pas que vous avez la capacité de devenir, vous aussi, d’excellents milieux d’apprentissage.