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Dans le cadre de son 25e anniversaire, le CQRHT a demandé aux personnes qui se sont impliquées au fil des années comme administrateurs de répondre à quelques questions sur ce qui les a inspirées à travailler en tourisme. Qu’ils soient retraités ou actifs, gestionnaires ou travailleurs, dans une entreprise ou une association touristique, ce sont tous des passionnés. Nous leur avons donc laissé la parole, tout simplement!

 

Je suis tombé dedans – à l’école ou dans mon premier emploi

 

Plusieurs d’entre eux ont fait le choix très rapidement de travailler en tourisme. Voici ce qu’ils ont à nous dire sur ce qui a déclenché leur intérêt :

 

«J’ai décidé de travailler dans l’industrie à 17 ans sur un coup de cœur. J’avais peu voyagé à l’époque mais j’avais un intérêt marqué pour la géographie, les peuples du monde et l’ouverture sur les autres. Je ne me voyais pas ailleurs.»

– Charlène Baron, Voyages CAA-Québec

 

«Étudiant universitaire en administration, je souhaitais un parcours de formation plus appliqué. J’ai découvert le programme de gestion touristique qui a fait écho en moi ! Ces études et mes premiers emplois étudiants dans le secteur (guide touristique, serveur, auditeur de nuit) m’ont permis de valider que j’avais trouvé ma voie !»

– François-Gilbert Chevrier, Événements Attractions Québec

 

«Comme Obélix qui est tombé dans la potion magique quand il était enfant, j’ai toujours travaillé dans l’industrie touristique dès mon premier emploi comme sauveteur au Zoo de Granby. L’engagement pour cette belle organisation, l’environnement de travail dans lequel on évolue et la possibilité de progresser à l’interne en relevant de nouveaux défis professionnels font en sorte que je suis toujours à l’emploi du Zoo de Granby après plus de 21 ans.»

– Samuel Grenier, Zoo de Granby

 

«Depuis aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours rêvé de travailler dans l’industrie touristique. Avec mes parents, on a fait des voyages de camping, donc dès mon enfance j’ai été exposée aux beautés des cultures, des paysages et des expériences que le tourisme nous procure. Ensuite, est venu mon premier voyage en avion, vers 12 ans, une révélation! Rapidement après cette expérience j’ai dit à mes parents : moi je veux être agente de bord, je veux voler au quotidien, je veux partager avec les voyageurs, je veux visiter le monde.»

– Julie Bilodeau, Transat

 

«Le déclencheur pour moi a été un travail que j’ai occupé à l’été de mes 17 ans en tant que préposée au bureau des loisirs ainsi qu’à la garderie de jour du Manoir Richelieu. Étant originaire de Québec, je me suis installée dans la résidence d’employés et j’ai pu alors y côtoyer de nombreux collègues occupant différentes fonctions de travail. J’ai trouvé l’esprit de corps très motivant.»

– Lucie Charland, Croisières AML

 

«Mon grand intérêt pour le tourisme part de mon enfance/adolescence dans la région de la Gaspésie, très fréquentée par de nombreux visiteurs. Je trouvais fantastiques toutes les rencontres potentielles à faire avec ces gens qui venaient nous visiter. Par la suite, c’est mon engagement en culture qui m’a menée vers la gestion d’un attrait patrimonial et touristique qui a été ma porte d’entrée vers la direction de l’ATR de la Gaspésie et ensuite de l’ATRAQ et du Québec Maritime.»

– Louise Nadeau, retraitée

 

«À l’adolescence, j’étais un fervent des sports de plein air, tous mes moments de loisirs y étaient consacrés. À l’école, j’aimais énormément la géographie et j’avais une douance pour les mathématiques. Ces deux domaines d’étude m’ont amené au baccalauréat en gestion et intervention du Tourisme de l’Université du Québec à Montréal et ce fut le début de cette aventure et carrière dans l’industrie touristique québécoise.»

– Pierre Gaudreault, Aventure Écotourisme Québec

 

J’y suis, j’y reste

 

Quelques-uns de nos collaborateurs se sont plutôt retrouvés par hasard en tourisme, mais ils ont tellement été séduits qu’ils sont restés.

 

«J’ai décidé de suivre une formation en tant que technicien en aménagement cynégétique et halieutique à 15 ans. J’ai roulé ma bosse en tant que consultant en aménagement de la faune et en développement de territoires fauniques jusqu’en 2006. Puis, j’ai été embauché à la Fédération des pourvoiries du Québec. Quelques années plus tard, on m’a confié la responsabilité de soutenir les pourvoyeurs dans le développement de l’offre de leurs produits touristiques axés sur la mise en valeur de la faune et j’y suis encore.»

– Bruno Dumont, Fédération des pourvoiries du Québec

 

«Ça a commencé par un emploi étudiant pas loin de chez moi, à titre d’aide-cuisinier chez les Rôtisseries St-Hubert. Donc, tout d’abord pour la facilité et ensuite je suis toujours resté en lien avec l’industrie touristique sous une forme ou une autre.»

– Jean-René Dumas, représentant des travailleurs, syndicats des métallos

 

«Je suis arrivée par un concours de circonstances dans l’industrie touristique en 1984. À partir de ce moment, j’ai toujours désiré continuer ma carrière dans cette industrie.»

– Michèle Beauchemin, les Sommets

 

«J’ai commencé ma carrière dans un secteur et pour une organisation soutenue par le Ministère responsable du loisir. C’est l’intégration du loisir à l’offre touristique qui m’a amené à participer à la dynamique de l’industrie touristique. Dans l’exercice de mes fonctions, j’ai vécu avec plusieurs appartenances sectorielles qui caractérisent le récréotourisme et le trio loisir-culture-tourisme. Que serait le tourisme sans le loisir, ou l’utilisation du temps libre dans le contexte de pratiques libres, ou sans la culture sous toutes ses formes? Et que seraient le loisir et la culture sans être intégrés à l’offre touristique en plus d’être prioritairement consacrés aux clientèles locales.»

– Pierre-Paul Leduc, retraité et président du Conseil québécois du loisir

 

Vous êtes inspirés? Vous voulez en savoir plus? Ne manquez pas le deuxième article qui nous présente ces personnalités inspirantes du tourisme.

 

Psssst! Vous avez envie d’échanger avec des passionnés du tourisme? Le CQRHT vous invite à un cocktail virtuel festif, qui se déroulera le 11 février 2021 sous le thème Mille fois merci aux travailleurs et travailleuses de l’industrie touristique.

🎯 Cliquez ici pour l’inscription à ce cocktail festif*.
Ne manquez pas également la chance de participer à la réflexion sur les compétences du futurs pour l’industrie touristique. 

🎯 Inscription à cette activité*, par ici.

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* Veuillez noter que notre événement est supporté par une plateforme canadienne qui est en évolution constante. Il est possible que certains termes soient en anglais, mais soyez assurés que PheedLoop et nous travaillons à corriger la situation.

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État de la situation – Octobre 2024

Le tourisme au Québec comptait ce mois-ci 25 400 emplois de moins qu’en août dernier et quelque 35 200 emplois de moins qu’à pareille date l’an dernier. Bien que la diminution des emplois fût à prévoir avec la fin de la haute saison, il n’empêche que ces chiffres témoignent de la très grande difficulté de l’industrie touristique à récupérer la main-d’œuvre qu’il a perdue durant la pandémie.

Améliorer la productivité du travail en tourisme : une priorité

Au cours des dernières semaines, nous vous avons présenté des articles de blogue qui émanent d’un rapport sur la productivité…

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